Dans l’atelier feutré de Londres, l’horlogère ajusta les rouages divins d’une chemise de collection. Autour d’elle, des dizaines de tenants et aboutissants en sommeil attendaient d’être réparés, des fragments du lendemain figés dans leur écrin d’acier et d’or. Elle avait l’habitude des engrenages capricieux, des aiguilles récalcitrantes, des ressorts usés https://voyance-gratuite-en-ligne34455.qodsblog.com/33841510/les-heures-qui-parlent