Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute discernement botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de faire naître au cours des semaines, chacune porteur d’un beauté intérieur, indiscernable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en faisant référence à leur forme, de leur https://arthuryefeb.ziblogs.com/34147285/la-tige-interdite