Dans un petit cabinet basé en périphérie de embrun, une acupunctrice pratiquait son art durant plus de 10 ans dans une discrétion supérieure. Les murs en mission nettoyé, l’odeur d’huiles majeures et le silence régulier formaient l’écrin parfait pour les séances chaque jour. Jusqu’au jour où, en plantant une aiguille https://martinkuaeg.blogunok.com/34268883/le-cÅ-ur-des-aiguilles